J'ai trouvé de quoi remplir cette petite section.
Et "pas rap" lui ira comme un gant.
Il s'agit d'un endroit où vous pouvez contempler
en obervateur semi-impartial se qui se joue dans mon coco lorsque les
cloches sonnent douzes coup. Pour les pas vites, je vais y écrire
mes rêves!
_________J'étais dans un
espèce de théâtre sans banc et à deux scènes: derrière moi une grande
scène où se jouait une tragédie et devant moi un petit castelet pour
marionettes avec quelques enfants assis devant moi. Je choisis de
m'asseoir devant le castelet. Mais juste avant, j'aperçois au deuxième
étage Mona qui envoie ses bras en l'air pour que je la voie. Elle
a amené Francis avec elle. Mona reste en haut, mais Francis vient
me rejoindre. Fait étrange, en haut du 2e, il avait les cheveux longs,
puis quand il est descendu me voir, ses cheveux étaient coupés et
je lui ai dit: Mais, ma foi, tu t'es coupé les cheveux en descendant!
(toute normale!). Nous étions très heureux de se voir, nous nous sommes
serrés dans nos bras très longtemps. Puis, nous nous sommes assis
en face du castelet pour écouter l'histoire que contait les marionettes.
Elles nous offraient chacun une boîte de Pringles et un sachet de
sucre. Il fallait, selon les instuctions des marionettes, cacher le
sachet de sucre en-dessous de la boîte de pringles. C'est ce que nous
fîmes.
_________Puis, après un
certain temps, le théâtre n'étais plus un théâtre mais bien un centre
d'achat, et Francis n'était plus Francis, mais bien Jasmine (Gobeil).
Nous étions dans un espèce de jean-coutu et je m'achetais des gogosses
inutiles. Après avoir tuout acheté et être sortie, Jasmine se dirigeait
vers un autre magazin quand je m'aperçus que j'avais perdu mon porte-feuilles
et les balles de couleur que j'avais acheté. Je suis donc retournée
au jean-coutu et j'ai retrouvé mon porte-feuille. Les balles étaient
en compagnie des enfants avec qui je m'étais fait ami au j-c un peu
avant. Ils me cherchait devant un magazin de chaussures pour me redonner
mes balles.
_________Ensuite, je ne
sais pas comment, mais tout l'univers changea et je me retrouvai dans
une piscine fait en cercle sur un espèce de mini-sea-doo. C'était
une course contre les autres. Mais les autres étaient tous des habitués
et pour moi, c'était la première fois, ils étaient donc tous meilleurs
que moi. Ils étaient tous plus vieux aussi, j'étais donc la plus jeune.
Puis Jasmine Dagenais (arg) ordonna qu'on cesse et qu'on range les
engins (qui ont dipasrus comme par magie) et qu'on crawl jusqu'au
début de la piste. Mais je n'étais pas capable de nager comme les
autres nagaient, j'étais vraiment pourrie, alors j'expliquai à Jasmine
que je n'avais jamais appris à crawler. Tous assis devant le tableau,
elle nous expliquait des trucs que je ne me rappelle plus. Puis quelqu'un
entra dans la piscine, Kevin Shanks je crois, ou David Lefebvre...
Ou peut-être les deux (trouvez le rapport) pour se chercher un cendrier.
Jasmine était folle de rage, car elle n'acceptait pas que quelqu'un
qui n'est pas un élève se serve du cendrier de la piscine, près de
la porte de sortie à l'extérieur, à côté du tableau. Puis, chose tout
à fait étrange, Jasmine essayait maintenant de sculpter un cendrier
dans je ne sais quel matériau qui se travaille avec les ongles (peut-être
des petits bouts de bois collés ensemble, vous savez, comme les rondelles
du coffre-fort de techno en sec 3) et elle me demanda, vu qu'elle
n'arrivait à rien dans un petit pout serré et précis du cendrier:
as-tu des ongles? Je lui répondit que non et plongeai dans la piscine,
qui n'étais plus en forme de beigne mais bien en forme de rectangle
banal. J'y ai vu une fille qui courait sur l'eau, suivit de Caroline
Charb. qui essayait la même prouesse, sans succès. J'ai plongé dans
l'eau, et je me sentais vraiment bien, je suis restée très longtemps
en dessous de l'eau sans respirer, et je nageait dans les prodondeurs...
Puis mon cadran a sonné. Vive l'école.
***
Rêve du 4 décembre 1999
J'étais... déprimé, tout le monde se moquait
de moi, alors j'ai pris un gun et je l'ai foutu sur ma tempe. Je gueulais
à tout le monde que j'allais me tirer dans le crâne.
Les gens ne me croyaient pas. J'étais vraiment hystérique.
Puis au lieu de me tirer dans la tête, je me suis tiré dans une main.
Mon frère a rit de moi parce que j'étais lâche. Mes parents n'étaient
pas contents parce qu'ils devaient réparer le trou dans ma main et
ça leur tentait pas. Ils se foutaient carrément de l'acte que j'avais
pu commettre. Ensuite, je suis avec je ne me souviens plus qui evant
le cégep st-laurent. Il y a plein de monde, tous des cégepiens. Je
vois d'ailleurs François Filion, qui ne me reconnaît pas, qui me regarde
bizarre à cause de ce que je porte comme vêtement (je ne me souviens
que de mes collants rayés). Il em dit que mes vêtments sont des vêtements
de petites É"wannabe" qui sortent du secondaire. Il est
vraiment mesquin. Puis vient Francis, qui est supposé nous faire visiter
l'école. Mon frère m'avait prêté son agenda parce qu'il allait là
et que les numéos des locaux était dans son agenda, parce "j'étais
même pas foutue de me documenter avant de visiter des portes ouvertes"...
Mon frère n'avait pas l'air de m'aimer fort fort. Donc nous rentrons
dans l'école, après avoir croisé plusieurs profs de la EEI (dont Jeanne
d'arc et le prof de musique) et après avoir demandé à françois: euh,
ya-t'il un prof qui peut nous débarrer la porte? - Les portes sont
débarrées, voyons, c'est des portes ouvertes (méchammant). Alors on
rencontre Francis à l'intérieur (on était deux je crois, je ne me
rappelle plus l'autre personne qui c'était) et je lui dit que je veux
voir la salle des photocopies. c'est au 6e, alors on prend l'asscenseur.
Il y avait, dans l'ascenceur, Christian et Félix. Félix me lançait
des sarcasmes à la pelle, puis se tut. Pendant le silence qui suivit,
toujours dans l'ascenseur, j'entendais Francis pleurer et qui me flattait
la tête. Je l'avais rendu misérable. Les autres ont compris le sort
de Francis, ils ont commencé à me haïr.
***
7 avril 2000
Rêve premier: je jasais avec Erik Satie. (??)
Rêve deuxième: je n'ai rien retenu sauf
le mot clef "conversation".
Rêve troisième: C'était le spectacle
du français avec bouffe, lysistrata. Il y avait un inconnu qui m'a
donné un cahier, il me dit qu'il y a une grosse théorie dedans,
mais il y a plutôt une BD mal écrite et mal dessinée qui ressemble
aux dessins que je faisais lorsque j'étais au primaire, une sieste
en avant des casiers et on me reconduit chez moi, je vois rei sur
une moto. Personne n'animait à temps, il fallait que je dise à tout
le monde: dépêchez-vous d'animer! (mais c'était la générale) et tout
le monde était frustré contre moi, surtout christian. En revenant
chez moi, j'ai eu un lift que la mère de quelqu'un, j'ai vu Rei qui
attendait l'autobus sur une roche, en plug suit. Ensuite, je l'ai
vu en moto derrière nous, qui roulait. Un peu plus tard, je me retourne
et je la vois marcher en robe lila sur le trottoir. je me retourne
longuement. Celle qui est assise à côté de moi me demande: kossé tu
fais? et je réponds: eh bien... je regarde Rei. - Rei? - ouais. j'aime
bien la dessiner. Les parents eux se parlent entre eux, la femme dit
qu'elle va prendre un autre chemin, et elle dessend une grosse côte,
un peu comme dnas une montagne russe (d'ailleurs, la route n'est plus
une route mais un espèce de chemin de fer) et mon cadran sonne.
***
8 avril 2000
Encore le show du français. mais différent. Officiel.
C'était la preprésentation finale, professionnelle, il manquait une
fille pour un numéro, qui s'appelait monique. On m'a dit: va la chrcher!
(et caro était très frustrée contre moi, je ne sais pas trop pourquoi).
Je descendit dans le sous-sol (où il y a le local d'art-dram), mais
c'était plutôt une grosse piscine. Dans la piscine, il y avait une
fille - monique - en habits de jeanne d'arc (grosse armure). elle
était prisonnière de la piscine. il y abait un méchant avec deux gardes
avec des bâtons qui surveillaient la piscine. le méchant me disait:
allez, essaie de la délivrer, et tu mourras! ah - ah - ah-!!
Un italien arrive. Il dit une phrase en italien (quelques
mots, je ne me souviens plus vraiment) et il combat les deux gardes,
de telle sorte que ceux-ci se frappent mutuellement sur la tête. J'aide
beaucoup l'italien. Il st meilleur que moi, mais je fais une grosse
partie de la job. Pendant cette tirade, les 2 gardes récitent des
vers, comme si c'était un texte qu'ils devaient dire. mais ils étaient
d'asez mauvais comédiens, il n'y mettaient aucune intonnation. J'aide
Monique à sortir de la piscine et elle aide l'italien à achever le
méchant. L'italien dit une de ces célèbres phrases show-off
en italien, et monique aplaudit. Elle me dit d,applaudir parce qu'il
faut tojours appalaudir lorsque l'italien dit cette phrase. Je m'exécute.
Nous remontons en haut, et Monique va sur scène faire son show. Caro
est moins frustrée dans les coulisses. La scène se transforme en lac,
ou plutôt en rue d'eau, ben comme à venise.
j'embarque dans un gros bateau à moteur avec une couple
d'autre personne. Ils partent le bateau. Mais je sors de celui-ci.
Le bateau s'en va en faisant une spectaculaire pirouette. J'en prend
un deuxième. Lui s'en va, roule sur lui-même. Personne n'est évacué
du bateau sauf moi, parce que je ne suis pas une professionnelle et
eux si.
je vais donc à la age chez moi. Je nage, je nage, je
rencontre mes parents qui étaient assis dans une terrasse d'un resto
au dessus du canal. Je leur dit "salut!" et ils me répondent, enthousiastes.
Je continue encore de nager, pour enfin me rendre sur la terre ferme
(oui, l'eau se tranforme en rue) et je vais rentrer dans quelque chose
qui est supposé être chez moi. Je cherche la clef. Il fait très très
noir. Je cherche encore. Puis je vois un lunch par terre, un lunch
dans un sec, mais seulement des restans; une demie sandwich et plein
de sacs ziplocs. Je me demande c'est à qui. Puis j'aperçois dans la
pénombre un petit bonhomme avec des lunettes (il ressemblait à Olivier
Bourbeau), il est très intelligent, mais c'est un ans-abri. Il venait
habituellement souvent se faire garder à la même maison que moi. Je
lui dit salut, mais il me boude. Il est fâché, il pense que tout le
monde l'a oublié. Il dort habituellement dans une boîte aux lettres.
Je lui dit de ne pas s'inquiété, et que notre tueur allait revenir
bientôt (je n'avait pas mes clefs et lui non plus).
En rentrant dans le bâtiment (je ne sais plus trop par
quel moyen), l'histoire change radicalement. Je deviens une touriste.
Je suis au japon. Dans un centre d'achat. Je veu monter au deuxième
étage, à la banque, parce qu'il faut que j'aille endosser mon chèque
d'impôt. je vois les escaliers modile, puis je vois des gens qui essaie
de le prendre. Je vois Félix. Il rigole dans un escalier mobile. Il
veut monter. Je vais au même que lui, puis je me rend compte la cause
de tous ces rires; il essayait de monter dans un escalier mobile qui
descendait. J'en vis un à ma gauche qui montait. je quittai Félix,
puis allai m'engager dans cet escalier.
Rendue en haut, il fallait faire la file d'attente pour
aller au guichet automatique. Ce qui téait vraiment sympa, c'est que
les japonais mettaient des sacs de chips par terre pour les gens qui
attendent, ainsi qu'aux guichets. Ah, ce qu'ils sont sympa ces japonais.
Alors j'arrive au guichet. Je fais mon dépôt, mais je
me rends compte que j'ai oublié mon chèque de gouvernement à la maison!
Oh zut... j'irai plus tard. Le japon est tellement un pays sympa.
Profitons-en.
Je me promène alors dans le centre d'achat. En fait,
ma mémoire défaille un peu à ce moment là, mais il me semble que quelqu'un
voulait me montrer quelque chose et m'attirait vers un magasin de
style brico (rénovation) et je trouvais ça nul. Mais il y avait des
petits ordinateurs un peu partout, vous savez, ceux qui sont là pour
aider les gens à retrouver des magasins dans les gros centres d'achat.
Eh bien Voyant un japonais qui s'en éloignait, je m'assis sur une
chaise enface de l'écran. (note: j'étais au japon, mais tout était
écrit en français - ou en anglais? ouais, en anglais). C'était un
petit jeu. Le genr e de jeu qui vient gratuit avec windows, ou les
petits freeware qu'on trouve sur happypuppy. Je jouais à un de ces
jeu en mangeant des chips (l'hopitalité japoinaise), et j'ai fait
beaucoup de points. Mais je ne me souviens plus à quoi nous servaient
ces points.
Le reste du rêve me semble très flou. j'étais avec Carol
dans un magasin de bébelles (comme feu Gadget 2000), un peu comme
ces magasins de bric à brac sur st-laurent. Je trouvais plein de trucs
amusant, je les montrait à carol en lui disant: regarde, il y en a
aussi dans mon pays de ces trucs là! Ensuite, je ne sais par quel
déroulement, je me toruvai en train d'essayer d'aspirer de la slush
bleue par une paille vec beaucoup de difficulté. Puis ma mère vint
me réveiller. Fin du rêve.
***
9 avril 2000
(attention, écrit à toute vitesse!!!)
papiers=bombes atomiques
contre charles
cheveux verts as-tu des beaux collants (centre d'achat, je suis frustrée
contre mon mari à cause d'un mal-entendu), poupées dans des boites,
charles contre moi, lui contre piano. je prend de l'argent
pemier jour de job dans un cente d'achat, dans un magazinnde
msuique? c'es tola fpete à quelqu'un, je demande à marie-claude mailloux:
c'est quoi el dernier disque de madona? c'est everything. (elle propose
un livre sur la musique de trotsky à un client. Ensuite, ma journée
est fnie, je veux me faire poinconner, je cherche le boss, je vais
en bas, en haut, un peu partout dans la bâtisse, puis je rencontre
cathou. Elle demande aux boss si ls ont du chimique avec eux. UJn
d'un répond amicalement que lk'usine a mal tourné le jour où ils ont
voulu faire du chimique, et que c'.ttait la première fois en 50 ans
qu'il y avait quelqu,mun qui avait ole culot de lui demander ça. Il
aimait bien cela. pour descendre, cathou n'uitilisa pas kl'escalier:
elle sauta en bas, sans see faire mal (et c'était quand mpeme haut)
et je lui dit que j'admirais son audace.
J'étais dans le peuple qu'a libéré
Moïse, les eaux se sont séparés et ont s'est en allés.
Dans une salle d'attente, au lieu d'avoir des trophées
de chase, comme des orignaux, c'étaient des têtes d'êtres humains.
***
rêve du 10 avril 2000
Le rêve a commencé de la même façon que ma soirée (tél,
ordi, jasette ICQ ), puis je suis partie de la maison en cachette.
partie le soir pour trouver de l'inspiration, je suis allée dans un
parc avec mon calepin. Après de mures réflexions, j'en suis venue
à la conclusion: Ich Bin Ewig. Je suis revenue à la maison, et à ma
grande suprise, la porte de la maison était entrouverte. je suis rentrée
et je l'ai laissée entrouverte, pour faire le moins de bruit possible
pour ne pas me faire découvrir. Je montai les escaliers sur la plante
des pieds, pour ne pas réveiller personne (et parce que j'étais sortie
sans le dire, mes parents me croyaient couchée) et je me suis glissée
dans mon lit en notant deux choses avant de me coucher: Ich bin ewig
et puis eight inch (8 pouces). Sur ICQ, francis m'avait envoyé un
message. je le lu, je ne comprit rien et alla me coucher. Je me réveillai
(pour vrai, là). Ce rêve était bien étrange parce que trop
réel. J'étais sûre de ne pas avoir rêvé. Je me demandais même à mon
réveil s'il ne s'était pas passé sans un passé très très proche. puis
j'ai douté... Ich bin ewig = je suis éternel -3h15 am (tiens, je rêve
à des phrases en allemand??? Et je rêve à "je
suis éternelle"? Ouh là, un psychanaliste se ferait
du fun noir à décoder tout ça.)
On me râpait le dos - où bien je me faisais tirer dessus.
Mais c'était dans un autre rêve...
***
11 avril 2000
Moi et charles, on faisait un film. Il dansait et faisait
des conneries avec une musique de fond. Mais voilà qu'il se trompe
de musique, et puis on se dit: eh, on va refaire ce film-là à 3h,
d'ac? - Ok, à trois heures piles. Je lui dit alors d'ammener le gâteau
avec lui (il me semble que c'était une pizza, mais ensuite, ça se
tranforme en gâteau. Alors on va chacun de notre bord. Mais il se
trouve que je sais ce que Charles a fait man ce rêve et pas moi. Enfin.
Il a pris une voiture et il est allé quelque part, je ne me rappelle
plus où. Seulement, il est arrivé quelque chose de vraiment bête,
vraiment stupide, mais je ne rappelle plus quoi, puis nos deux montres
sont changé d'heures. Il était maintenant rendu 4h (au lieu de, normalement,
1h30 environs). Moi je n'étais pas loin de la place du tournage, je
m'y suis rendu à pied. Mais Charles, lui, était très stressé, il a
fallut qu'il loue un camion. Vu qu'il ne savait aps conduire un camion,
il a fait un carambolage avec plein de camions, et certains ont même
explosé. La police arrête mon frère. C'était un gros policier, un
espèce d'inspecteur ou de détective vraiment minable (comme dans l'assassin
jouait du trombone). Il amena mon frère dans une épicerie. Mon frère,
pour se délivrer du policir afin de ne pas être en retard, prend un
otage avecun gros couteau de cuisine. Cependant, il se trouve que
l'otage, c'était moi. (et c'est plus vraiment Charles la personne...)
Le policier, moi et l'agresseur étions dans la porte du magasin, qui
était un métro (profesion épicier) et nous étions la, entre la porte
du dehors et la porte du magasin (vous savez, comme au métro longueuil,
avant d'entrer dans le mc donald, il y a un espèce de petit compartiment...
eh bin imaginer cela, avec une vue sur le magasin, mais avec tous
les autres murs opaques). Le dtective parlait à une caissière, uqui
était terrifiée. Il disait: "vous voyez, l'agresseur ici doit absolument
mutiler le bras de l'otage, parce qu'il se vide de ses frustrations
et devient moins agressif. Ainsi, l'otage ne sera pas tué. L'agresseur
a commencé à me tailler le bras avec son énorme couteau de cuisine.
J'étais terrifiée. Il m'a enfin lâchée. Le policier reprend: vous
voyez, madame, maintenant, l'agresseur ne peut plus tuer l'otage!
Cepdendant, juste après avoir dit ça, l'agresseur mon lance son couteau
dessus. Heureusement, je l'évite, en me lançant vers la droite. Je
cours pour sortir de cette petite pièce dangereuse, j'ouvre la porte
pour sortir, et juste quand je suis dehors, je sens quelque chose
dans mon cou, à ma droite. Puis du sang qui coule. Et une douleur.
C'était le couteau.
***
19 avril 2000
J'allais reporter des films au marché clandestin;
Miyu pour être plus précise, ainsi qu'un film pour enfant. Dans les
sous-terrains de la ville, il y avait des escalier, puis tout d'un
coup, je vois des soeurs qui arrivnet, puis des papes et des évêques,
qui sont terrosisés, ils courent dans le sens contraire où je vais.
Ensuite, une foule de gens, je vois quelque-uns de mes amis. Ils me
disent: il y a des brutes en haut qui tuent des gens! Alors je cours
sur la terre ferme, je vois les brutes en question.
Ils ne font que brandir des longs... euh... je ne sais
aps trop ce que c'était, des coliers? En tout cas, des cordes faites
de billes de fer. Ils m'en lançait parce que j'essayais de pénétrer
dans leur QG.
Bon... alors il y a un type qui sors (leur headquarter
c'était ma maison, bien entendu) dans l'escalier de la porte d'à côté.
Il me voit, et dit: bouge pas où je te lance ça en pleine tronche!
Et j'ai répondu: vas-y! Il m'en lance un. Mais ça ne me fais pas mal.
je le râmasse et le mets dans mes poches. Ensuite, il m'en lance un
vraiment gros. Ouch. Je me rammase, et je sors dehors. Je vais entrerrer
les deux armes dans la terre pour ne plus qu'elles fassent de mal
à personne. En suite, il m'en lance quelques petites, et s'enfuit
en courant parce que je reste là sans bouger à me défendre avec mon
bras. j'téais vraiment en furie. Je prénètre dans la cuisine. Et qui
ne vois-je pas?
ARIANE! Mais qu'est-ce qu'elle fais là! "Ariane! Mais
qu'est-ce que tu fais là!" lui dis-je. Elle de me répondre: "J'ai
trouvé un nouvel avenir! Ils m'acceptent comme je suis!" (on aurait
dit un téléroman bidon). "Tu n'es qu'une traitre! tu as battu et tué
de tes semblbles pour des imbéciles qui ne savent pas ce qu'ils font!"
"Mais essaie de comprendre, me dit-elle, je ne veux qu'être heureuse!"
Ensuite le gros boss des méchants arrive.
Ariane me retiens pour ne pas que je saute sur lui,
mais la rage et les larmes glonfle le sang dans les veines toute ma
tête, et je gueule et je crie: Sale enfoirés! Pourquoi vous faites
cela! Savez-vous ce que c'est d'avoir mal? Non mais savez-vous ce
que c'est de souffrir! (et des trucs du genre). À ma grande surprise,
Ariane fais la même chose avec moi. Et on est deux à crier contre
le grand boss, qui reste froid. Et puis pendant tout ce temps (où
je gueulais), j'étais consciente que je rêvais. Et miaoul, miaou,
mon chat vient me réveiller.
***
23 avril
On avait un appartement à plusieurs à
quelque part... Puis il y avait une nymphomane qui me faisait es vanaces,
mais je ne voulais rien savoir. J'avais donné les clef de l'appartement
àla personne à qui les clefs appartenaient, mais les
portes étaient barrées, je ne pouvais plus rentrer.
Heureusement, la porte d'en avant de l'appartement était débarrée.
Des clients arrivent. Ils me disent quelque chose comme: "Franchement,
how disgusting!" (je dis Client parce que l'appartement se change
subitement en petit boutique de vêtements dont je suis une des
proprio). Les clients entrent, moi aussi, par la porte d'en avant.
Je vais retrouver les autres proprio (il y avait Mona, mes les autres,
je ne me souviens plus). L'intérieur de l'appartement (où
nous étions) ressemblait étrangement au corridor devant
le local d'art dramatique à l'école. J'ai appris par
mes compatriotes que quelqu'un avait volé un pic à glace.
(d'où vient ce pic à glace? Probablement du film "perfect
blue" que j'ai vu il n'y a pas longtemps, le pic à glace
m'a marqué). Je m'élance dehors, afin de piéger
le voleur de pic à glace.
C'était une vieille femme, plutôt pauvre,
elle marchait dans ses haillons de fa^con courbée. Je lui demandai
gentiment de me redonne rle pic à glace. Elle me dit qu'elle
ne l'avait pas. C'était son fils, un motard très méchant
et très fort qui l'avait. Elle me pointa du doigt un endroit,
et quand je me retournai pour regarder l'endroit qu'elle pointait,
j'ai vu son fils avc le pic à glace qui prinçait entre
ses dents jaunes quelques incantations vaudous ou je ne sais trop.
Le pic à glace était ni plus ni moins un catalyseur
d'énergie, il a fallu que j'utilise moi-même des pouvoirs
magiques pour ravoir le pic à glace. Ce fut un combat de puissance,
de pouvoirs magiques, de sorts et autre babioles mytsiques. Mon psychisme
l'emporta sur le pauvre motard ivre. Enfin, je l'ai eu le pic à
glace, alors je retournai à l'appartement.
De retour à l'appartement (dont la porte était
la porte du local d'art drammatique) je m'apperçu que tous
les proprios étaient habillés en blanc et voulaient
que je fasse pareil. Je m'élançai dans mes appartements
pour me trouver quelque chose de blanc. J'hésitais entre une
jupe blanche et des pantalons blancs avec bretelles blanches (c'était
mon costume d'halloween d'Orange Mécanique). Je demandai à
tous les autres proprios (qui étaient sur le bord d'une piscine
(??)) si j'étais mieux de porter le pantalon ou la jupe. Personne
ne me répondait. (note: Mona ne portait pas une chemise tout
à fait blanche, mais une chemise blanche avec des lignes bleues
et rouges) Je choisis alors je porter la jupe blanche avec des collants
blancs, qui étaient beaucoup plus blancs que les pantalons,
qui eux étaient un peu plus beiges.
Je sais que le rêve n'a pas terminé come
ça. Mais j'ai un blanc de mémoire tant qu'à la
suite des événements. On a probablement vendu des vêtements.
Je me souviens vaguement qu'il était question de juges ou de
jury... Enfin.
***
Le 30 avril 2000. Fait extraordinaire: j'ai contrôlé
mon rêve.
On s'en allait à la piscine. En allant dans le vestiaire,
on a vu un vieux rasoir par terre, tout propre. Puis, je me suis dit,
dans mon rêve: je veux qu'il y aille du sang sur la lame. Du sang
est apparu. Je me suis dit: il y a un morceau de langue à côté. Un
morceau de langue est apparu. Je me suis dit: c'est catherine qui
s'est coupé la langue. J'entre dans le vestiaire et je vois catherine
qui crache du sang. Ele essaie de me parler, et je ne vois qu'une
demie-langue. Sitôt, je me dis: ça y est, je suis dans un rêve et
je le contrôle.
Je vais à la piscine, je suis toute seule (et je souhaite
être toute seule). Il y a de la musique. Je plonge dans l'eau, qui
est de température agréable. Je nage un peu, puis je me dis: j'aimerais
respirer dans l'eau. Hop! Je me mets à rester longtemps sous l'eau
en respirant de mon plein gré. C'est très agréable. Des filles arrivent
pour se baigner. Et moi je m'en vais, parce que je détiens le pouvoir
de faire ce que je veux.
Le bout qui suit est un peu flou. Je monte des escaliers,
je me ramasse dans la même pièce que quelques gens, dont Robert Bélanger,
Élise et Louis-Daniel (la pièce, c'était la chambre d'élise). Ils
parlaient de dépression ou je ne sais trop quoi. Robert était de mauvaise
humeur, il gueulait je ne sais trop quoi. Je me suis dit alors: je
veux que Robert arrête de gueuler. Robert a fait la baboune et il
est sorti de la pièce. (il y avait un certificat sur le bureau que
j'avais fait à élise plus tôt dans mon rêve alors que j'étais saoule,
et quelqu'un avais écrit une phrase avec le mot dépression dessus.)
Alors je me dit: j'aimerais vraiment exploité ce pouvoir
à son plein potentiel. Alors je monte sur le toit de la maison. Et
devinez quoi? Il y avait un piano! Alors je m'installe au piano et
je joue plein de belles mélodies qui résonnent partout sur la terre,
le soleil est éclatant et la musique me rend ivre.
C'est ensuite que je tente mon rêve d'enfant, depuis
que je suis toute petite. Je m'avance sur le bord du toit de la maison,
je fais quelques pas, et puis, je me jette en bas. Je ferme les yeux.
Et je commence à voler. Je vais plus vite et plus vite encore, je
suis doublement ivre parce que j'entends de la musique, je ressens
la joie dans toutes les pores de ma peau, je vole dans le ciel...
Je contourne les maisons, mais je ferme mes yeux. Note: je suis dans
un petit village avec des maisons à pignons, il n'y a personne dans
les rues malgré le beau soleil. Peut-être que c'est ce que j'avais
voulu.
J'aurais vraiment pu essayer d'autres trucs, c'est vrai,
mais ce sont ceux qui me sont venus sur le moment. Et toutes les sensations
étaient vraiment réelles. Et je savait que j'étais dans un rêve. Je
pouvais le contrôler à souhait. Mais mes sens ressentaient vraiment
tout d'une façon crue, agréablement réelle! Il faudrait que je me
fasse une liste de trucs que je voudrais faire dans mes rêves, si
jamais ça se reproduit.
Non, mais imaginez un peu si vous pouviez réaliser
tous vos fantasmes...