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Moi
Citations
Bonne critique
mauvaise critique
Musée
Les dessins animés japonais
Quelques photos
Bon gros pot-pourris de cossins
Hyperliens

On mange-tu pas rap?
(Claudette)

J'ai trouvé de quoi remplir cette petite section. Et "pas rap" lui ira comme un gant.

Il s'agit d'un endroit où vous pouvez contempler en obervateur semi-impartial se qui se joue dans mon coco lorsque les cloches sonnent douzes coup. Pour les pas vites, je vais y écrire mes rêves!

***

Rêve du 12 octobre 1999 entre 7h25 et 7h45

_________J'étais dans un espèce de théâtre sans banc et à deux scènes: derrière moi une grande scène où se jouait une tragédie et devant moi un petit castelet pour marionettes avec quelques enfants assis devant moi. Je choisis de m'asseoir devant le castelet. Mais juste avant, j'aperçois au deuxième étage Mona qui envoie ses bras en l'air pour que je la voie. Elle a amené Francis avec elle. Mona reste en haut, mais Francis vient me rejoindre. Fait étrange, en haut du 2e, il avait les cheveux longs, puis quand il est descendu me voir, ses cheveux étaient coupés et je lui ai dit: Mais, ma foi, tu t'es coupé les cheveux en descendant! (toute normale!). Nous étions très heureux de se voir, nous nous sommes serrés dans nos bras très longtemps. Puis, nous nous sommes assis en face du castelet pour écouter l'histoire que contait les marionettes. Elles nous offraient chacun une boîte de Pringles et un sachet de sucre. Il fallait, selon les instuctions des marionettes, cacher le sachet de sucre en-dessous de la boîte de pringles. C'est ce que nous fîmes.

_________Puis, après un certain temps, le théâtre n'étais plus un théâtre mais bien un centre d'achat, et Francis n'était plus Francis, mais bien Jasmine (Gobeil). Nous étions dans un espèce de jean-coutu et je m'achetais des gogosses inutiles. Après avoir tuout acheté et être sortie, Jasmine se dirigeait vers un autre magazin quand je m'aperçus que j'avais perdu mon porte-feuilles et les balles de couleur que j'avais acheté. Je suis donc retournée au jean-coutu et j'ai retrouvé mon porte-feuille. Les balles étaient en compagnie des enfants avec qui je m'étais fait ami au j-c un peu avant. Ils me cherchait devant un magazin de chaussures pour me redonner mes balles.

_________Ensuite, je ne sais pas comment, mais tout l'univers changea et je me retrouvai dans une piscine fait en cercle sur un espèce de mini-sea-doo. C'était une course contre les autres. Mais les autres étaient tous des habitués et pour moi, c'était la première fois, ils étaient donc tous meilleurs que moi. Ils étaient tous plus vieux aussi, j'étais donc la plus jeune. Puis Jasmine Dagenais (arg) ordonna qu'on cesse et qu'on range les engins (qui ont dipasrus comme par magie) et qu'on crawl jusqu'au début de la piste. Mais je n'étais pas capable de nager comme les autres nagaient, j'étais vraiment pourrie, alors j'expliquai à Jasmine que je n'avais jamais appris à crawler. Tous assis devant le tableau, elle nous expliquait des trucs que je ne me rappelle plus. Puis quelqu'un entra dans la piscine, Kevin Shanks je crois, ou David Lefebvre... Ou peut-être les deux (trouvez le rapport) pour se chercher un cendrier. Jasmine était folle de rage, car elle n'acceptait pas que quelqu'un qui n'est pas un élève se serve du cendrier de la piscine, près de la porte de sortie à l'extérieur, à côté du tableau. Puis, chose tout à fait étrange, Jasmine essayait maintenant de sculpter un cendrier dans je ne sais quel matériau qui se travaille avec les ongles (peut-être des petits bouts de bois collés ensemble, vous savez, comme les rondelles du coffre-fort de techno en sec 3) et elle me demanda, vu qu'elle n'arrivait à rien dans un petit pout serré et précis du cendrier: as-tu des ongles? Je lui répondit que non et plongeai dans la piscine, qui n'étais plus en forme de beigne mais bien en forme de rectangle banal. J'y ai vu une fille qui courait sur l'eau, suivit de Caroline Charb. qui essayait la même prouesse, sans succès. J'ai plongé dans l'eau, et je me sentais vraiment bien, je suis restée très longtemps en dessous de l'eau sans respirer, et je nageait dans les prodondeurs... Puis mon cadran a sonné. Vive l'école.

***

Rêve du 4 décembre 1999

J'étais... déprimé, tout le monde se moquait de moi, alors j'ai pris un gun et je l'ai foutu sur ma tempe. Je gueulais à tout le monde que j'allais me tirer dans le crâne. Les gens ne me croyaient pas. J'étais vraiment hystérique. Puis au lieu de me tirer dans la tête, je me suis tiré dans une main. Mon frère a rit de moi parce que j'étais lâche. Mes parents n'étaient pas contents parce qu'ils devaient réparer le trou dans ma main et ça leur tentait pas. Ils se foutaient carrément de l'acte que j'avais pu commettre. Ensuite, je suis avec je ne me souviens plus qui evant le cégep st-laurent. Il y a plein de monde, tous des cégepiens. Je vois d'ailleurs François Filion, qui ne me reconnaît pas, qui me regarde bizarre à cause de ce que je porte comme vêtement (je ne me souviens que de mes collants rayés). Il em dit que mes vêtments sont des vêtements de petites É"wannabe" qui sortent du secondaire. Il est vraiment mesquin. Puis vient Francis, qui est supposé nous faire visiter l'école. Mon frère m'avait prêté son agenda parce qu'il allait là et que les numéos des locaux était dans son agenda, parce "j'étais même pas foutue de me documenter avant de visiter des portes ouvertes"... Mon frère n'avait pas l'air de m'aimer fort fort. Donc nous rentrons dans l'école, après avoir croisé plusieurs profs de la EEI (dont Jeanne d'arc et le prof de musique) et après avoir demandé à françois: euh, ya-t'il un prof qui peut nous débarrer la porte? - Les portes sont débarrées, voyons, c'est des portes ouvertes (méchammant). Alors on rencontre Francis à l'intérieur (on était deux je crois, je ne me rappelle plus l'autre personne qui c'était) et je lui dit que je veux voir la salle des photocopies. c'est au 6e, alors on prend l'asscenseur. Il y avait, dans l'ascenceur, Christian et Félix. Félix me lançait des sarcasmes à la pelle, puis se tut. Pendant le silence qui suivit, toujours dans l'ascenseur, j'entendais Francis pleurer et qui me flattait la tête. Je l'avais rendu misérable. Les autres ont compris le sort de Francis, ils ont commencé à me haïr.

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7 avril 2000

Rêve premier: je jasais avec Erik Satie. (??)

Rêve deuxième: je n'ai rien retenu sauf le mot clef "conversation".

Rêve troisième: C'était le spectacle du français avec bouffe, lysistrata. Il y avait un inconnu qui m'a donné un cahier, il me dit qu'il y a une grosse théorie dedans, mais il y a plutôt une BD mal écrite et mal dessinée qui ressemble aux dessins que je faisais lorsque j'étais au primaire, une sieste en avant des casiers et on me reconduit chez moi, je vois rei sur une moto. Personne n'animait à temps, il fallait que je dise à tout le monde: dépêchez-vous d'animer! (mais c'était la générale) et tout le monde était frustré contre moi, surtout christian. En revenant chez moi, j'ai eu un lift que la mère de quelqu'un, j'ai vu Rei qui attendait l'autobus sur une roche, en plug suit. Ensuite, je l'ai vu en moto derrière nous, qui roulait. Un peu plus tard, je me retourne et je la vois marcher en robe lila sur le trottoir. je me retourne longuement. Celle qui est assise à côté de moi me demande: kossé tu fais? et je réponds: eh bien... je regarde Rei. - Rei? - ouais. j'aime bien la dessiner. Les parents eux se parlent entre eux, la femme dit qu'elle va prendre un autre chemin, et elle dessend une grosse côte, un peu comme dnas une montagne russe (d'ailleurs, la route n'est plus une route mais un espèce de chemin de fer) et mon cadran sonne.

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8 avril 2000

Encore le show du français. mais différent. Officiel. C'était la preprésentation finale, professionnelle, il manquait une fille pour un numéro, qui s'appelait monique. On m'a dit: va la chrcher! (et caro était très frustrée contre moi, je ne sais pas trop pourquoi). Je descendit dans le sous-sol (où il y a le local d'art-dram), mais c'était plutôt une grosse piscine. Dans la piscine, il y avait une fille - monique - en habits de jeanne d'arc (grosse armure). elle était prisonnière de la piscine. il y abait un méchant avec deux gardes avec des bâtons qui surveillaient la piscine. le méchant me disait: allez, essaie de la délivrer, et tu mourras! ah - ah - ah-!!

Un italien arrive. Il dit une phrase en italien (quelques mots, je ne me souviens plus vraiment) et il combat les deux gardes, de telle sorte que ceux-ci se frappent mutuellement sur la tête. J'aide beaucoup l'italien. Il st meilleur que moi, mais je fais une grosse partie de la job. Pendant cette tirade, les 2 gardes récitent des vers, comme si c'était un texte qu'ils devaient dire. mais ils étaient d'asez mauvais comédiens, il n'y mettaient aucune intonnation. J'aide Monique à sortir de la piscine et elle aide l'italien à achever le méchant. L'italien dit une de ces célèbres phrases show-off en italien, et monique aplaudit. Elle me dit d,applaudir parce qu'il faut tojours appalaudir lorsque l'italien dit cette phrase. Je m'exécute. Nous remontons en haut, et Monique va sur scène faire son show. Caro est moins frustrée dans les coulisses. La scène se transforme en lac, ou plutôt en rue d'eau, ben comme à venise.

j'embarque dans un gros bateau à moteur avec une couple d'autre personne. Ils partent le bateau. Mais je sors de celui-ci. Le bateau s'en va en faisant une spectaculaire pirouette. J'en prend un deuxième. Lui s'en va, roule sur lui-même. Personne n'est évacué du bateau sauf moi, parce que je ne suis pas une professionnelle et eux si.

je vais donc à la age chez moi. Je nage, je nage, je rencontre mes parents qui étaient assis dans une terrasse d'un resto au dessus du canal. Je leur dit "salut!" et ils me répondent, enthousiastes. Je continue encore de nager, pour enfin me rendre sur la terre ferme (oui, l'eau se tranforme en rue) et je vais rentrer dans quelque chose qui est supposé être chez moi. Je cherche la clef. Il fait très très noir. Je cherche encore. Puis je vois un lunch par terre, un lunch dans un sec, mais seulement des restans; une demie sandwich et plein de sacs ziplocs. Je me demande c'est à qui. Puis j'aperçois dans la pénombre un petit bonhomme avec des lunettes (il ressemblait à Olivier Bourbeau), il est très intelligent, mais c'est un ans-abri. Il venait habituellement souvent se faire garder à la même maison que moi. Je lui dit salut, mais il me boude. Il est fâché, il pense que tout le monde l'a oublié. Il dort habituellement dans une boîte aux lettres. Je lui dit de ne pas s'inquiété, et que notre tueur allait revenir bientôt (je n'avait pas mes clefs et lui non plus).

En rentrant dans le bâtiment (je ne sais plus trop par quel moyen), l'histoire change radicalement. Je deviens une touriste. Je suis au japon. Dans un centre d'achat. Je veu monter au deuxième étage, à la banque, parce qu'il faut que j'aille endosser mon chèque d'impôt. je vois les escaliers modile, puis je vois des gens qui essaie de le prendre. Je vois Félix. Il rigole dans un escalier mobile. Il veut monter. Je vais au même que lui, puis je me rend compte la cause de tous ces rires; il essayait de monter dans un escalier mobile qui descendait. J'en vis un à ma gauche qui montait. je quittai Félix, puis allai m'engager dans cet escalier.

Rendue en haut, il fallait faire la file d'attente pour aller au guichet automatique. Ce qui téait vraiment sympa, c'est que les japonais mettaient des sacs de chips par terre pour les gens qui attendent, ainsi qu'aux guichets. Ah, ce qu'ils sont sympa ces japonais.

Alors j'arrive au guichet. Je fais mon dépôt, mais je me rends compte que j'ai oublié mon chèque de gouvernement à la maison! Oh zut... j'irai plus tard. Le japon est tellement un pays sympa. Profitons-en.

Je me promène alors dans le centre d'achat. En fait, ma mémoire défaille un peu à ce moment là, mais il me semble que quelqu'un voulait me montrer quelque chose et m'attirait vers un magasin de style brico (rénovation) et je trouvais ça nul. Mais il y avait des petits ordinateurs un peu partout, vous savez, ceux qui sont là pour aider les gens à retrouver des magasins dans les gros centres d'achat. Eh bien Voyant un japonais qui s'en éloignait, je m'assis sur une chaise enface de l'écran. (note: j'étais au japon, mais tout était écrit en français - ou en anglais? ouais, en anglais). C'était un petit jeu. Le genr e de jeu qui vient gratuit avec windows, ou les petits freeware qu'on trouve sur happypuppy. Je jouais à un de ces jeu en mangeant des chips (l'hopitalité japoinaise), et j'ai fait beaucoup de points. Mais je ne me souviens plus à quoi nous servaient ces points.

Le reste du rêve me semble très flou. j'étais avec Carol dans un magasin de bébelles (comme feu Gadget 2000), un peu comme ces magasins de bric à brac sur st-laurent. Je trouvais plein de trucs amusant, je les montrait à carol en lui disant: regarde, il y en a aussi dans mon pays de ces trucs là! Ensuite, je ne sais par quel déroulement, je me toruvai en train d'essayer d'aspirer de la slush bleue par une paille vec beaucoup de difficulté. Puis ma mère vint me réveiller. Fin du rêve.

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9 avril 2000
(attention, écrit à toute vitesse!!!)

papiers=bombes atomiques
contre charles
cheveux verts as-tu des beaux collants (centre d'achat, je suis frustrée contre mon mari à cause d'un mal-entendu), poupées dans des boites, charles contre moi, lui contre piano. je prend de l'argent

pemier jour de job dans un cente d'achat, dans un magazinnde msuique? c'es tola fpete à quelqu'un, je demande à marie-claude mailloux: c'est quoi el dernier disque de madona? c'est everything. (elle propose un livre sur la musique de trotsky à un client. Ensuite, ma journée est fnie, je veux me faire poinconner, je cherche le boss, je vais en bas, en haut, un peu partout dans la bâtisse, puis je rencontre cathou. Elle demande aux boss si ls ont du chimique avec eux. UJn d'un répond amicalement que lk'usine a mal tourné le jour où ils ont voulu faire du chimique, et que c'.ttait la première fois en 50 ans qu'il y avait quelqu,mun qui avait ole culot de lui demander ça. Il aimait bien cela. pour descendre, cathou n'uitilisa pas kl'escalier: elle sauta en bas, sans see faire mal (et c'était quand mpeme haut) et je lui dit que j'admirais son audace.

J'étais dans le peuple qu'a libéré Moïse, les eaux se sont séparés et ont s'est en allés.

Dans une salle d'attente, au lieu d'avoir des trophées de chase, comme des orignaux, c'étaient des têtes d'êtres humains.

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rêve du 10 avril 2000

Le rêve a commencé de la même façon que ma soirée (tél, ordi, jasette ICQ ), puis je suis partie de la maison en cachette. partie le soir pour trouver de l'inspiration, je suis allée dans un parc avec mon calepin. Après de mures réflexions, j'en suis venue à la conclusion: Ich Bin Ewig. Je suis revenue à la maison, et à ma grande suprise, la porte de la maison était entrouverte. je suis rentrée et je l'ai laissée entrouverte, pour faire le moins de bruit possible pour ne pas me faire découvrir. Je montai les escaliers sur la plante des pieds, pour ne pas réveiller personne (et parce que j'étais sortie sans le dire, mes parents me croyaient couchée) et je me suis glissée dans mon lit en notant deux choses avant de me coucher: Ich bin ewig et puis eight inch (8 pouces). Sur ICQ, francis m'avait envoyé un message. je le lu, je ne comprit rien et alla me coucher. Je me réveillai (pour vrai, là). Ce rêve était bien étrange parce que trop réel. J'étais sûre de ne pas avoir rêvé. Je me demandais même à mon réveil s'il ne s'était pas passé sans un passé très très proche. puis j'ai douté... Ich bin ewig = je suis éternel -3h15 am (tiens, je rêve à des phrases en allemand??? Et je rêve à "je suis éternelle"? Ouh là, un psychanaliste se ferait du fun noir à décoder tout ça.)

On me râpait le dos - où bien je me faisais tirer dessus. Mais c'était dans un autre rêve...

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11 avril 2000

Moi et charles, on faisait un film. Il dansait et faisait des conneries avec une musique de fond. Mais voilà qu'il se trompe de musique, et puis on se dit: eh, on va refaire ce film-là à 3h, d'ac? - Ok, à trois heures piles. Je lui dit alors d'ammener le gâteau avec lui (il me semble que c'était une pizza, mais ensuite, ça se tranforme en gâteau. Alors on va chacun de notre bord. Mais il se trouve que je sais ce que Charles a fait man ce rêve et pas moi. Enfin. Il a pris une voiture et il est allé quelque part, je ne me rappelle plus où. Seulement, il est arrivé quelque chose de vraiment bête, vraiment stupide, mais je ne rappelle plus quoi, puis nos deux montres sont changé d'heures. Il était maintenant rendu 4h (au lieu de, normalement, 1h30 environs). Moi je n'étais pas loin de la place du tournage, je m'y suis rendu à pied. Mais Charles, lui, était très stressé, il a fallut qu'il loue un camion. Vu qu'il ne savait aps conduire un camion, il a fait un carambolage avec plein de camions, et certains ont même explosé. La police arrête mon frère. C'était un gros policier, un espèce d'inspecteur ou de détective vraiment minable (comme dans l'assassin jouait du trombone). Il amena mon frère dans une épicerie. Mon frère, pour se délivrer du policir afin de ne pas être en retard, prend un otage avecun gros couteau de cuisine. Cependant, il se trouve que l'otage, c'était moi. (et c'est plus vraiment Charles la personne...) Le policier, moi et l'agresseur étions dans la porte du magasin, qui était un métro (profesion épicier) et nous étions la, entre la porte du dehors et la porte du magasin (vous savez, comme au métro longueuil, avant d'entrer dans le mc donald, il y a un espèce de petit compartiment... eh bin imaginer cela, avec une vue sur le magasin, mais avec tous les autres murs opaques). Le dtective parlait à une caissière, uqui était terrifiée. Il disait: "vous voyez, l'agresseur ici doit absolument mutiler le bras de l'otage, parce qu'il se vide de ses frustrations et devient moins agressif. Ainsi, l'otage ne sera pas tué. L'agresseur a commencé à me tailler le bras avec son énorme couteau de cuisine. J'étais terrifiée. Il m'a enfin lâchée. Le policier reprend: vous voyez, madame, maintenant, l'agresseur ne peut plus tuer l'otage! Cepdendant, juste après avoir dit ça, l'agresseur mon lance son couteau dessus. Heureusement, je l'évite, en me lançant vers la droite. Je cours pour sortir de cette petite pièce dangereuse, j'ouvre la porte pour sortir, et juste quand je suis dehors, je sens quelque chose dans mon cou, à ma droite. Puis du sang qui coule. Et une douleur. C'était le couteau.

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19 avril 2000

J'allais reporter des films au marché clandestin; Miyu pour être plus précise, ainsi qu'un film pour enfant. Dans les sous-terrains de la ville, il y avait des escalier, puis tout d'un coup, je vois des soeurs qui arrivnet, puis des papes et des évêques, qui sont terrosisés, ils courent dans le sens contraire où je vais. Ensuite, une foule de gens, je vois quelque-uns de mes amis. Ils me disent: il y a des brutes en haut qui tuent des gens! Alors je cours sur la terre ferme, je vois les brutes en question.

Ils ne font que brandir des longs... euh... je ne sais aps trop ce que c'était, des coliers? En tout cas, des cordes faites de billes de fer. Ils m'en lançait parce que j'essayais de pénétrer dans leur QG.

Bon... alors il y a un type qui sors (leur headquarter c'était ma maison, bien entendu) dans l'escalier de la porte d'à côté. Il me voit, et dit: bouge pas où je te lance ça en pleine tronche! Et j'ai répondu: vas-y! Il m'en lance un. Mais ça ne me fais pas mal. je le râmasse et le mets dans mes poches. Ensuite, il m'en lance un vraiment gros. Ouch. Je me rammase, et je sors dehors. Je vais entrerrer les deux armes dans la terre pour ne plus qu'elles fassent de mal à personne. En suite, il m'en lance quelques petites, et s'enfuit en courant parce que je reste là sans bouger à me défendre avec mon bras. j'téais vraiment en furie. Je prénètre dans la cuisine. Et qui ne vois-je pas?

ARIANE! Mais qu'est-ce qu'elle fais là! "Ariane! Mais qu'est-ce que tu fais là!" lui dis-je. Elle de me répondre: "J'ai trouvé un nouvel avenir! Ils m'acceptent comme je suis!" (on aurait dit un téléroman bidon). "Tu n'es qu'une traitre! tu as battu et tué de tes semblbles pour des imbéciles qui ne savent pas ce qu'ils font!" "Mais essaie de comprendre, me dit-elle, je ne veux qu'être heureuse!" Ensuite le gros boss des méchants arrive.

Ariane me retiens pour ne pas que je saute sur lui, mais la rage et les larmes glonfle le sang dans les veines toute ma tête, et je gueule et je crie: Sale enfoirés! Pourquoi vous faites cela! Savez-vous ce que c'est d'avoir mal? Non mais savez-vous ce que c'est de souffrir! (et des trucs du genre). À ma grande surprise, Ariane fais la même chose avec moi. Et on est deux à crier contre le grand boss, qui reste froid. Et puis pendant tout ce temps (où je gueulais), j'étais consciente que je rêvais. Et miaoul, miaou, mon chat vient me réveiller.

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23 avril

On avait un appartement à plusieurs à quelque part... Puis il y avait une nymphomane qui me faisait es vanaces, mais je ne voulais rien savoir. J'avais donné les clef de l'appartement àla personne à qui les clefs appartenaient, mais les portes étaient barrées, je ne pouvais plus rentrer. Heureusement, la porte d'en avant de l'appartement était débarrée. Des clients arrivent. Ils me disent quelque chose comme: "Franchement, how disgusting!" (je dis Client parce que l'appartement se change subitement en petit boutique de vêtements dont je suis une des proprio). Les clients entrent, moi aussi, par la porte d'en avant. Je vais retrouver les autres proprio (il y avait Mona, mes les autres, je ne me souviens plus). L'intérieur de l'appartement (où nous étions) ressemblait étrangement au corridor devant le local d'art dramatique à l'école. J'ai appris par mes compatriotes que quelqu'un avait volé un pic à glace. (d'où vient ce pic à glace? Probablement du film "perfect blue" que j'ai vu il n'y a pas longtemps, le pic à glace m'a marqué). Je m'élance dehors, afin de piéger le voleur de pic à glace.

C'était une vieille femme, plutôt pauvre, elle marchait dans ses haillons de fa^con courbée. Je lui demandai gentiment de me redonne rle pic à glace. Elle me dit qu'elle ne l'avait pas. C'était son fils, un motard très méchant et très fort qui l'avait. Elle me pointa du doigt un endroit, et quand je me retournai pour regarder l'endroit qu'elle pointait, j'ai vu son fils avc le pic à glace qui prinçait entre ses dents jaunes quelques incantations vaudous ou je ne sais trop. Le pic à glace était ni plus ni moins un catalyseur d'énergie, il a fallu que j'utilise moi-même des pouvoirs magiques pour ravoir le pic à glace. Ce fut un combat de puissance, de pouvoirs magiques, de sorts et autre babioles mytsiques. Mon psychisme l'emporta sur le pauvre motard ivre. Enfin, je l'ai eu le pic à glace, alors je retournai à l'appartement.

De retour à l'appartement (dont la porte était la porte du local d'art drammatique) je m'apperçu que tous les proprios étaient habillés en blanc et voulaient que je fasse pareil. Je m'élançai dans mes appartements pour me trouver quelque chose de blanc. J'hésitais entre une jupe blanche et des pantalons blancs avec bretelles blanches (c'était mon costume d'halloween d'Orange Mécanique). Je demandai à tous les autres proprios (qui étaient sur le bord d'une piscine (??)) si j'étais mieux de porter le pantalon ou la jupe. Personne ne me répondait. (note: Mona ne portait pas une chemise tout à fait blanche, mais une chemise blanche avec des lignes bleues et rouges) Je choisis alors je porter la jupe blanche avec des collants blancs, qui étaient beaucoup plus blancs que les pantalons, qui eux étaient un peu plus beiges.

Je sais que le rêve n'a pas terminé come ça. Mais j'ai un blanc de mémoire tant qu'à la suite des événements. On a probablement vendu des vêtements. Je me souviens vaguement qu'il était question de juges ou de jury... Enfin.

***

Le 30 avril 2000. Fait extraordinaire: j'ai contrôlé mon rêve.

On s'en allait à la piscine. En allant dans le vestiaire, on a vu un vieux rasoir par terre, tout propre. Puis, je me suis dit, dans mon rêve: je veux qu'il y aille du sang sur la lame. Du sang est apparu. Je me suis dit: il y a un morceau de langue à côté. Un morceau de langue est apparu. Je me suis dit: c'est catherine qui s'est coupé la langue. J'entre dans le vestiaire et je vois catherine qui crache du sang. Ele essaie de me parler, et je ne vois qu'une demie-langue. Sitôt, je me dis: ça y est, je suis dans un rêve et je le contrôle.

Je vais à la piscine, je suis toute seule (et je souhaite être toute seule). Il y a de la musique. Je plonge dans l'eau, qui est de température agréable. Je nage un peu, puis je me dis: j'aimerais respirer dans l'eau. Hop! Je me mets à rester longtemps sous l'eau en respirant de mon plein gré. C'est très agréable. Des filles arrivent pour se baigner. Et moi je m'en vais, parce que je détiens le pouvoir de faire ce que je veux.

Le bout qui suit est un peu flou. Je monte des escaliers, je me ramasse dans la même pièce que quelques gens, dont Robert Bélanger, Élise et Louis-Daniel (la pièce, c'était la chambre d'élise). Ils parlaient de dépression ou je ne sais trop quoi. Robert était de mauvaise humeur, il gueulait je ne sais trop quoi. Je me suis dit alors: je veux que Robert arrête de gueuler. Robert a fait la baboune et il est sorti de la pièce. (il y avait un certificat sur le bureau que j'avais fait à élise plus tôt dans mon rêve alors que j'étais saoule, et quelqu'un avais écrit une phrase avec le mot dépression dessus.)

Alors je me dit: j'aimerais vraiment exploité ce pouvoir à son plein potentiel. Alors je monte sur le toit de la maison. Et devinez quoi? Il y avait un piano! Alors je m'installe au piano et je joue plein de belles mélodies qui résonnent partout sur la terre, le soleil est éclatant et la musique me rend ivre.

C'est ensuite que je tente mon rêve d'enfant, depuis que je suis toute petite. Je m'avance sur le bord du toit de la maison, je fais quelques pas, et puis, je me jette en bas. Je ferme les yeux. Et je commence à voler. Je vais plus vite et plus vite encore, je suis doublement ivre parce que j'entends de la musique, je ressens la joie dans toutes les pores de ma peau, je vole dans le ciel... Je contourne les maisons, mais je ferme mes yeux. Note: je suis dans un petit village avec des maisons à pignons, il n'y a personne dans les rues malgré le beau soleil. Peut-être que c'est ce que j'avais voulu.

J'aurais vraiment pu essayer d'autres trucs, c'est vrai, mais ce sont ceux qui me sont venus sur le moment. Et toutes les sensations étaient vraiment réelles. Et je savait que j'étais dans un rêve. Je pouvais le contrôler à souhait. Mais mes sens ressentaient vraiment tout d'une façon crue, agréablement réelle! Il faudrait que je me fasse une liste de trucs que je voudrais faire dans mes rêves, si jamais ça se reproduit.

Non, mais imaginez un peu si vous pouviez réaliser tous vos fantasmes...