encore le show du français. mais différent. Officiel. C'était la preprésentation finale, professionnelle, il manquait une fille pour un numéro, qui s'appelait monique. On m'a dit: va la chrcher! (et caro était très frustrée contre moi, je ne sais pas trop pourquoi). Je descendit dans le sous-sol (où il y a le local d'art-dram), mais c'était plutôt une grosse piscine. Dans la piscine, il y avait une fille - monique - en habits de jeanne d'arc (grosse armure). elle était prisonnière de la piscine. il y abait un méchant avec deux gardes avec des bâtons qui surveillaient la piscine. le méchant me disait: allez, essaie de la délivrer, et tu mourras! ah - ah - ah-!! un italien arrive. Il dit une phrase en italien (quelques mots, je ne me souviens plus vraiment) et il combat les deux gardes, de telle sorte que ceux-ci se frappent mutuellement sur la tête. J'aide beaucoup l'italien. Il st meilleur que moi, mais je fais une grosse partie de la job. Pendant cette tirade, les 2 gardes récitent des vers, comme si c'était un texte qu'ils devaient dire. mais ils étaient d'asez mauvais comédiens, il n'y mettaient aucune intonnation. J'aide Monique à sortir de la piscine et elle aide l'italien à achever le mchant. L'italien dit une de ces célèbres phrases show-off en italien, et monique aplaudit. Elle me dit d,applaudir parce qu'il faut tojours appalaudir lorsque l'italien dit cette phrase. Je m'exécute. Nous remontons en haut, et Monique va sur scène faire son show. Caro est moins frustrée dans les coulisses. La scène se transforme en lac, ou plutôt en rue d'eau, ben comme à venise. j'embarque dans un gros bateau à moteur avec une couple d'autre personne. Ils partent le bateau. Mais je sors de celui-ci. Le bateau s'en va en faisant une spectaculaire pirouette. J'en prend un deuxième. Lui s'en va, roule sur lui-même. Personne n'est évacué du bateau sauf moi, parce que je ne suis pas une professionnelle et eux si. je vais donc à la age chez moi. Je nage, je nage, je rencontre mes parents qui étaient assis dans une terrasse d'un resto au dessus du canal. Je leur dit "salut!" et ils me répondent, enthousiastes. Je continue encore de nager, pour enfin me rendre sur la terre ferme (oui, l'eau se tranforme en rue) et je vais rentrer dans quelque chose qui est supposé être chez moi. Je cherche la clef. Il fait très très noir. Je cherche encore. Puis je vois un lunch par terre, un lunch dans un sec, mais seulement des restans; une demie sandwich et plein de sacs ziplocs. Je me demande c'est à qui. Puis j'aperçois dans la pénombre un petit bonhomme avec des lunettes (il ressemblait à Olivier Bourbeau), il est très intelligent, mais c'est un ans-abri. Il venait habituellement souvent se faire garder à la même maison que moi. Je lui dit salut, mais il me boude. Il est fâché, il pense que tout le monde l'a oublié. Il dort habituellement dans une boîte aux lettres. Je lui dit de ne pas s'inquiété, et que notre tueur allait revenir bientôt (je n'avait pas mes clefs et lui non plus). En rentrant dans le bâtiment (je ne sais plus trop par quel moyen), l'histoire change radicalement. Je deviens une touriste. Je suis au japon. Dans un centre d'achat. Je veu monter au deuxième étage, à la banque, parce qu'il faut que j'aille endosser mon chèque d'impôt. je vois les escaliers modile, puis je vois des gens qui essaie de le prendre. Je vois Félix. Il rigole dans un escalier mobile. Il veut monter. Je vais au même que lui, puis je me rend compte la cause de tous ces rires; il essayait de monter dans un escalier mobile qui descendait. J'en vis un à ma gauche qui montait. je quittai Félix, puis allai m'engager dans cet escalier. Rendue en haut, il fallait faire la file d'attente pour aller au guichet automatique. Ce qui téait vraiment sympa, c'est que les japonais mettaient des sacs de chips par terre pour les gens qui attendent, ainsi qu'aux guichets. Ah, ce qu'ils sont sympa ces japonais. Alors j'arrive au guichet. Je fais mon dépôt, mais je me rends compte que j'ai oublié mon chèque de gouvernement à la maison! Oh zut... j'irai plus tard. Le japon est tellement un pays sympa. Profitons-en. Je me promène alors dans le centre d'achat. En fait, ma mémoire défaille un peu à ce moment là, mais il me semble que quelqu'un voulait me montrer quelque chose et m'attirait vers un magasin de style brico (rénovation) et je trouvais ça nul. Mais il y avait des petits ordinateurs un peu partout, vous savez, ceux qui sont là pour aider les gens à retrouver des magasins dans les gros centres d'achat. Eh bien Voyant un japonais qui s'en éloignait, je m'assis sur une chaise enface de l'écran. (note: j'étais au japon, mais tout était écrit en français - ou en anglais? ouais, en anglais). C'était un petit jeu. Le genr e de jeu qui vient gratuit avec windows, ou les petits freeware qu'on trouve sur happypuppy. Je jouais à un de ces jeu en mangeant des chips (l'hopitalité japoinaise), et j'ai fait beaucoup de points. Mais je ne me souviens plus à quoi nous servaient ces points. Le reste du rêve me semble très flou. j'étais avec Carol dans un magasin de bébelles (comme feu Gadget 2000), un peu comme ces magasins de bric à brac sur st-laurent. Je trouvais plein de trucs amusant, je les montrait à carol en lui disant: regarde, il y en a aussi dans mon pays de ces trucs là! Ensuite, je ne sais par quel déroulement, je me toruvai en train d'essayer d'aspirer de la slush bleue par une paille vec beaucoup de difficulté. Puis ma mère vint me réveiller. Fin du rêve.