Moi et charles, on faisait un film. Il dansait et faisait des conneries avec une musique de fond. Mais voilà qu'il se trompe de musique, et puis on se dit: eh, on va refaire ce film-là à 3h, d'ac? - Ok, à trois heures piles. Je lui dit alors d'ammener le gâteau avec lui (il me semble que c'était une pizza, mais ensuite, ça se tranforme en gâteau. Alors on va chacun de notre bord. Mais il se trouve que je sais ce que Charles a fait man ce rêve et pas moi. Enfin. Il a pris une voiture et il est allé quelque part, je ne me rappelle plus où. Seulement, il est arrivé quelque chose de vraiment bête, vraiment stupide, mais je ne rappelle plus quoi, puis nos deux montres sont changé d'heures. Il était maintenant rendu 4h (au lieu de, normalement, 1h30 environs). Moi je n'étais pas loin de la place du tournage, je m'y suis rendu à pied. Mais Charles, lui, était très stressé, il a fallut qu'il loue un camion. Vu qu'il ne savait aps conduire un camion, il a fait un carambolage avec plein de camions, et certains ont même explosé. La police arrête mon frère. C'était un gros policier, un espèce d'inspecteur ou de détective vraiment minable (comme dans l'assassin jouait du trombone). Il amena mon frère dans une épicerie. Mon frère, pour se délivrer du policir afin de ne pas être en retard, prend un otage avecun gros couteau de cuisine. Cependant, il se trouve que l'otage, c'était moi. (et c'est plus vraiment Charles la personne...) Le policier, moi et l'agresseur étions dans la porte du magasin, qui était un métro (profesion épicier) et nous étions la, entre la porte du dehors et la porte du magasin (vous savez, comme au métro longueuil, avant d'entrer dans le mc donald, il y a un espèce de petit compartiment... eh bin imaginer cela, avec une vue sur le magasin, mais avec tous les autres murs opaques). Le dtective parlait à une caissière, uqui était terrifiée. Il disait: "vous voyez, l'agresseur ici doit absolument mutiler le bras de l'otage, parce qu'il se vide de ses frustrations et devient moins agressif. Ainsi, l'otage ne sera pas tué. L'agresseur a commencé à me tailler le bras avec son énorme couteau de cuisine. J'étais terrifiée. Il m'a enfin lâchée. Le policier reprend: vous voyez, madame, maintenant, l'agresseur ne peut plus tuer l'otage! Cepdendant, juste après avoir dit ça, l'agresseur mon lance son couteau dessus. Heureusement, je l'évite, en me lançant vers la droite. Je cours pour sortir de cette petite pièce dangereuse, j'ouvre la porte pour sortir, et juste quand je suis dehors, je sens quelque chose dans mon cou, à ma droite. Puis du sang qui coule. Et une douleur. C'était le couteau. otage dans un magasin, je reçois un couteau dnas le cou.