Vous êtes pas obligés de lire l’analyse, mais au moins écoutez la toune; c’est un de mes préludes préférés, c’est malade, et c’est simplissime. Il termine à 4:27 (après c’est la fugue).
Vous êtes pas obligés de lire l’analyse, mais au moins écoutez la toune; c’est un de mes préludes préférés, c’est malade, et c’est simplissime. Il termine à 4:27 (après c’est la fugue).
À SUIVRE