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Pastiche d'André Breton
Ouais, euh....j'ai décidé de vus montrer ce petit poème pour vous monter à quel point c'est faible..
C'est un pastiche d'André Breton (c'est aps vous le savez déjà, là, non, surtout pas) que j'ai fait hier soir, au moment où j'écris. Il était vachement tard et j'étais épouvantablement fatiguée. J'ai simplement remplacé chaque mot du poème par un autre mot de la même nature, ou presque... Parfois j'ai changé des structures, mais au bout du compte, ça revient au même. Et c'est vraiment mauvais.Pelure de sapin
Le corps tout tapisselé vermeil
L'algue incendiée des fauteils berçants
Dont la pensée est fabriquée de millions de petits
__pommiers
Pour les vers là-bas
Et qui murmurre comme un peu de musique qu'on aurait ense-
__veli dans la terre
Et qui s'entend augmenter et rapetisser sur des coeurs
__de marchand
La porcelaine des fourmis la puce à l'oeille des
__pucelles
Celle qui provient des forteresses de la fontaine
Celle qui ajoute des appliqués sur l'édredon du nil
Celle pour qui l'air et la mer se déchirent l'aube
__quand le gardien de ses tempes titube comme un nain
N'est plus des confrontation de mes sens le but à atteindre
Poisson fondant
Que le monde joue à tendre sur les bûchers chronologiques
__d'ivresse
Qui sort un jour de pluie de quantité de sa chaleur
Elle est la tierce d'un obstacle égaré
Auquel s'accroche les confettis de larmes
Qui drainent mon allure d'invisible mes yeux de
__fissure
Mes mains de chamaux mes cheveux de minces avions
__ensanglanté
D'avions tacheté de sang écarlate et clairPouahahahah je rigole rien qu'à le retranscrire!!!
On aurait dit un cadavre exquis