J'en graisse je crois.

(une journée avant le premier anniversaire de la grosse traégide que je suis pu capable d'en entendre parler, fermer vos gueules vous m.coeurez tous autant que vous êtes, bâtard!)

Ce matin, j'ai mangé des céréales avec des morceaux de bananes dedans. Ça faisais des années que j'avais pas mangé de céréales, en fait, ça fait tellement longtemps que je ne m'en souviens plus. Oh, ouk, je me souviens, en secondaire 4, j'ai eu un petit trip de sugar crisp, mais ça n'a duré qu'une semaine, et je n'ai pas plus déjeuné après ce temps. Je sais pertinemment que la dernière fois où j'ai mangé quotidiennement des céréales et à titre de déjeuner, j'étais à l'école primaire. Et puis, depuis que j'ai déménager, j'ai pris tout plein de résolutions bizarres, du genre: faire de l'exercice (marcher ou aller à l'école à vélo plutôt que de faire deux coins de rue en autobus), manger trois repas par jour, boire moisn de café (mmm jusqu'à maitnenant, je n'ai aps tenu cette résolution), arrêter de me ronger les ongle (c'est carrément impossible ce truc), enfin.. c'est amusant, ça offre des petits défis, et puis ça va éventuellement me permettre de mieux vivre, qui sait.

Le truc drôle, là-dans, c'est que depuis que j'ai déménager, le soir, qaudn l'école ferme et que j n'ai rien d'autre à faire, la plupart du temps, je me dis que le meilleur moyen d'optimiser mon temps serait de me faire de la bouffe. Résultat? Je mange tout le temps, deux fois plus qu'avant, et mon estomac le prend mal, je crois. On ne peut pas, je crois, passer d'un régime assez faible mais suffisant (ou à peine suffisant) à une diete riche en grosses portions et en entre-repas... j'ai souvent mal au ventre, et puis je crois que mes jupes commencent à me serrer la taille. Je m'en fout vraiment d'être grosse, mais si je ne suis plus confortable dans mes vêtements, alors là, c'est vraiment pas souhaitable.

Enfin, résumé de mon état: j'ai souvent mal au ventre, au foie et dans ce coin là ces temps-ci, et ça irait encore si ça ne m'embêtait pas dans mes pratiques de piano. C'est t`res désagréable, en fait. Ah, aussi, je joue une toune de Liszt (Gnomenreigen, une étude de concert), et elle est toujours dans l'aigu, donc je dois toujours me pencher vers la droite, et ça commence à me donner des aux de dos. Enfin bref, ces temps-ci, ça va pas t`res fort du côté de la santé, mais le moral, alors là! Ou bien je suis hyper heureuse et je déborde de joie et je me trouve chanceuse d'être où je suis et heureuse de vivre ce que je vis, autant je peux apprécier et gouter pleinement à ma merveilleuse existence, et autant je peux être diablement frustrée contre les gens autours de moi. Ce qui m'irrite le plus, ces temps-ci, ce sont les gens qui se plaignent et qui sont incapable de jouir de ce qu'il ont, de se contenter de ce qu'on leur offre. Aaaaah ça m'écoeure. Je sais que je suis en train de retomber dans un mini-down, mais ce n'est qu'un mini, et c'est davantage le monde qui m'agace que la vie qui m'exaspère. Aujourd'hui, j'avais envie de tuer tout le monde, en fait, tout le monde qui chialait, ou autrement dit, j'avais crissement envie de changer de groupe de solfège. c'est drôle, ça me rappelle mon rêve d'il n'y a pas longtemps, où j'étais dans une classe de sur-doué et que ça m'écoeurait. Eh bien ça m'écoeurait aujourd'hui d'être dans le groupe fort de solfège, avec ces gens plein d'eux-même qui croient détenir la vérité et de faire partie d'une élite, ceux qui se sentent meilleur (ya rien de mal à se sentir meilleur, tant que ça ne créé pas un sentiment hautain ou de mépris envers autrui...). Je n'ose pas embarquer dans leur jeu de celui qui en sait le plus ou bien celui qui a les meilleures chances de réussir, celui qui tient le plus possible à son éducation sans faille. J'aurais mieux aimé qu'on me classe dans un niveau plus bas que d'être collé avec ces dingues sans conscience et sans cervelle.

Si vous saviez à quel point je suis heureuse de ce que j'ai, de ce que je n'ai pas, je suis heureuse d'habiter ici et de mener la vie que je mène. J'aime le cours de ce qui m'arrive, je me sens pleinement libre et pelinement responsable de tout ce qui m'arrive, et j'ai vriament l'impression, pour une des prmeières fois de ma vie, que ma propre existence est fermement entre mes griffes, que je la contrôle à ma guise de A à Z. C'est peut-être pourquoi ça me désole de voir que les gens autours de moi ne sont parfois pas capable d'apprécier leur vie, ou plutôt, qu'il ne font pas l'effort de la trouver belle. On vit en amérique du nord, quoi, c'est le confort total, j'ai une petite job poche dans le télé-marketing au salaire minimum, mais il reste que oui, dans notre pays, le salaire minimum c'est quand même 7,50 par heure, ce qui est quand même énorme! J'ai pas les moyens de mener une vie mouvementée et riche, mais je me complais tellement dans la musique, au cégep, à l'accès aux pianos, à tout l'art que je peux faire, merde, comment pourrais-je cracher sur cette vie fantastique? Je ne dis pas qu'elle pourrait être mieux, au contraire, c'est certain qu'elle peut être mieux, mais si je la veux mieux, je n'ai qu'à me pencher sur la question et faire des efforts pour la change,r parce que j'ai le plein contrôle sur elle, aprce que je suis carrément libre!! Voilà, j'en arrive à ma conclusion, en quelque sorte: j'ai la vie que je veux et je ne crois pas pouvoir atteindre une joie de vive qui dépasse celle que cela en procure en ce moment. Mieux encore: je suis consicente de la conséquence de tous mes actes, et je ne cherche pas à me trouver un déterminisme pour conjuger mes erreurs avec le "c'est pas ma faute", parce que oui, je crois que c'est justement ce poiint qui m'irrite le plus sur les autres présentement: je sais aps si c'est moi, masi on dirait que surtout ces temps-ci, à chaque fois qu'il arrive quelque chose, il y a toujours quelqu'un qui s'écrie "c'est pas ma faute" ou bien une réplique bidon dans le genre. On dirait que les gens sont incapable d'assumer leurs actes, ils s'emprisonnent eux-même, et de rejeter la faute sur autre chose que soi (quelqu'un, ou bien une cirsocnstance, ou peu importe), c'est tout simplement se déresponsabiliser et je trouve cette attitude vriament lâche de la part de mes pairs. Mais bon... qui suis-je pour fair ela morale à quiconque?

Quoi que... vous savez, l'éthique et la morale, c'est justement d'ailleurs ce sur quoi porte mon cours de philo, et je viens de finir un livre sur l'éthique (une vulgarisation, tres intéressante, "éthique à l'usage de mon fils", ça ne m'a pas vriament appris quelque chose de nouveau, mais... enfin, j'ai aimé le lire, j'ai cru lire des paragraphes que j'avais écris moi-même dans des récents blaba), et puis oui, carrément, j'aimerais faire la morale, disons-le franchement. Au moins, bâtir une échelle de valeurs sur laquelle reposerait plusiuers prncipes à l'usage de l'humanité, un espèce de théorie de consensus universel sur comment l'être humain devrais agir avec autrui et avec lui-même, parce que merde, ces temps-ci, on n'en a plus de valeur! Chacun croit que ce qu'il pense est la meilleure chose à penser, sans se poser de question (c'est drôle de dire ça perce que des fois je me dmeande si moi-même je ne suis pas une de ces damnée qui croit avoir la solution mais qui est dans le champ)., et puis dans la vie du chacun pour soi, on n' plus d'échelle de valeur sur laquelle se baser pour déterminer les meilleurs comportements à avoir pour que la vie soit la plus belle possible... oh merde, je dois aller travailler, il est 4h, je reprends ça peut-être ce soir.

[...]

Je me suis pris la Presse ce soir au travail, j'ai lu l'articule de Claude Gingras, il parle de l'interpétation fabuleuse de Yannick Nézet-Séguin de la 3e symphonie de Mahler... Il lui lance plein de fleur, il lui accorde d'ajectif 'génial', le style littéraires regorge d'hyperbole pour illustrer à quel point c'est un étonnant petit bonhomme. à la fin de l'article, il écrit (et je cite): "J'ose le dire: ce garçon pourrait être le futur chef de l'OSM. Mais on sait pourquoi il ne le sera pas". Fin de la citation...

Non, justement, je ne sais pas pourquoi et je brûlerais d'envie de le savoir! Pourquoi, s'il est si bon, si humble et si justement si jeune, pourquoi ne le placerions-nous pas à la tête de notre orchestre national???!! L'histoire ne le dit pas!!... Comme je l'estime, ce jeune homme. J'aimerais qu'il devienne mon mentor. Je pourrais lui envoyer une lettre.

Aujourd'hui, au travail, mon boss m'a demandé quelque chose de bizarre. Non, c'est pas mon boss, c'est mon superviseur. Ils ont présentement un gros problème sur les bras: il sont incappables de fournir, ils leur manque des agents de télé-marketing - manque de monde, manque d'employés, manque de ventes. Ils veulent recruter davantage de gens, et ils ne savent plus comment se promouvoir. Ils m'ont demandé si je serais intéressée à me déguiser en camelot de Presse et à passer des flyers dans les universités afin de recruter des gens dans leur boite de télé-marketing, avec une promesse de commission sur les gens que j'engagerais.

Premièrement, c'est vraiment sale de donner des comissions sur la tête d'être humains. Un humain, c'est pas de la marchandise, point. Deuxièmement, mais pour qui ils me prennent? C'est pas parce que je m'habille bizarre et que je m'exprime bien que je vais aller m'humillier devant monsieur et madame tout le monde, des universitaires, des gens que j'estime, pour faire de la propagande de quelque chose d'aussi moche que le télé-marketing! Troisièmement: quand j'achète des vêtements, des sacs ou quoi que ce soit, je découpe les marques qui sont trop visibles. Je refuse de faire de la promotion pour quelque chose de purement lucratif. Oui, vous me direz que je le fais en vendant la Presse au téléphone, mais enfin, non seulement c'est anonyme (donc sans réel engagement, comme si je me montrais délibérément aux gens en leur donnant des dépliants (avec des bonbons d'épinglé dessus, ils ne savent plus quoi donner!!)), mais en plus, j'en retire déjà de sérieux remords de conscience (mais je continue à le faire car je crois quand même un peu à mon produit - ne serait-ce que pour Claude Gingras!!), alors imaginez comment je me sentirais à faire de la pub pour une entreprise aussi vile que celle du télé-marketing!

Non, ne vous leurrez pas, je ne dit pas que d'être agent de télé-marketing c'est moche. C'est un emploi comme un autre, les gens font ce qu'ils peuvent pour gagner leur vie et je n'ai rien à redire là-dessus. Si j'ai cet emploi, c'est qu'il me plaît bien au fond; l'atmosphère est agréable, et je peux apporter du bon, même si vous ne me croyez pas (on peut jaser des heures parfois avec les personnes agées qui s'ennuient, par exemple), enfin... c'est aussi un des seuls emploi qui me permet de réaliser mes priorités, dû à l'horaire flexible qu'il offre. C'est vrai que je considère le télé-marketing un peu comme une forme de prostitution, mais quand le but de cette prostitution est noble et peut aider quelqu'un à jouir davantage de sa vie et de la rendre plus agréable (et rendre du même coup plus agréable la vie des autres), eh bien, pourquoi pas? Seulement, ne me demander pas poiur rien au monde de promouvoir quelque chose en quoi je n'ai absolument aucune conviction. J'ai utilisé la prostitution pour faire la comparaison, et je crois que c'est à tort - je suis en train de me demander si je ne préfère pas les prostituées à tous ces gens qui cultivent le télé-marketing et qui se font de l'argent sur le dos des gens naïfs qu'on dérange à n'importe quelle heure de la journée.

Voilà, j'ai encore des valeurs qui m'empêche de faire n'miporte quoi, et je ne peux pas croire qu'il ne s'en sont pas douté. Peut-être ne suis-je à leurs yeux qu'un pauvre clown. Eh bien, si cette image leur plaît, bien soit, tant mieux pour eux. J'ai parlé avec mon père tantôt au téléphone, il m'a dit des choses vraiment... mmm... je ne trouve pas d'adjectif. Il m'a dit qu'il avait parlé avec son boss aujourd'hui, qu'il parlait de moi, il lui a dit qu'il s'était planté plusieurs fois sur mon compte. Il m'avait d'abord dit, quand je sortais du primaire, qu'il n'était pas d'accord à ce que j'aille à l'école internationale, mais j'ai réussi. Il n'étais pas non plus d'accord à ce que j'aille travailler dna sune agence de télé-marketing, que je n'allais pas toffer deux semaines. J'y suis encore aujourd'hui, et pour une bonne couple de mois encore (surtout que mon frère vient de se joindre à moi, je suis tellement contente!). Il n'était pas vriament d'accord non plus à ce que je parte en appartement toute seule comme ça, mais comme avant, il m'a laissé faire, aprce qu'il a compris que j'en était capable et qu'il fallait me faire plus confiance. Il a ensuite dit que j'irais peut-être à l'université dans quelque chose qui n'a aucun débouché... mais qu'il me faisais confiance cette fois-ci, que je savais probablement ce que je faisais. J'étais contente d'apprendre ce qu'il m'a dit. On a toujours été un peu distant mon père et moi depuis que je suis petite, mais je crois que depuis que maman est partie, on s'entend mieux, ou du moins, moi je me sens mieux avec lui. c'est comme si toutes ces années j'avais eu une espèce d'aversion parce qu'il ne m'a jamais prise pour une enfant, mais que du jour au lendemain je crois, j'ai fait le grand saut entre l'enfant et l'adulte (je ne crois aps avoir eu d'adolescence, ou sinon, elle n'a duré que quelques mois. Je déteste ce mot, je déteste cette définition, c'est laid, beurk, c'est ingrat, je ne veux jamais être associé à cette image), et puis je me suis dès lors rapproché de mon père et éloigné de ma mère (qui m'a toujours prise pour un enfant - ça allait avant, quand je l'étais). Ainsi va la vie qui va, ah. Mais maintenant, je suis partie de chez moi, et toute seule par-dessus le marché, je n'ai personne dans les jambes et je suis pleinement indépendante... tout en tâchant de ne pas tomber dans le pièce de la fausse vie aisée.

Oui, je pourrais maintenant me considérer comme une "adulte" (beeeurk c'est dégueulasse comme phrase! Ça sonne comme la chie d'une gamine qui se sent "mature" (se sentir "plus mature que" est justement un signe qu'on ne l'est pas!)), c'est vrai, mais pas dans le style: "bon, je prends ma vie en main, je vais m'inscrre en génie mécanique pour faire carrière là-dedans, et je vais me ramasser assez d'argent pour m'acheter une maison et un chien, et je vais me trouver un petit mari qui va m'aider à faire la vaisselle". Eurk. J'ai encore l'intention d'aller à l'université dans un domaine qui ne rapporte absolument aucun fric, c'est-à-dire la musique, et je compte l'étudier encor elongtemps, le plus longftemps possible. Pourquoi? Parce que j'aime ça, et je considère que faire ce que l'on aime est plus important que d'avoir une carrière (la pensée populaire veut que la vie réussie est celle d'une belle carrière professionnelle. Mon cul.). Autrement dit, dans mon échelle de priorités, étudier, acquérir des connaissances dans les sujets qui me passionent est mille fois plus important que n'importe quel programme d'étude qui viserait à m'offrir un emploi. J'irais même jusqu'à dire que je ferais la concession, par CHOIX, de vivre pauvrement si je peux étudier la musique toute ma vie. Je pourrais garder mon poste à télé-contact, dans le télé-marketing, toute ma vie et ça ne me ferait pas un pli, si j'arrive parallèlement à posséder toutes les connaissances que j'aiemrais avoir, mais surtout, surtout, si j'arrive à faire à partir de ces connaissances des projets artistiques digne d'une certaine valeur... créer, quoi, c'est bien plsu miprotant - à mes yeux, on s'entend - que d'avoir un poste rémunéré, stable et payant. Mais bon, ce sont mes valeurs, c'est probablement pas l'idéal de tous, et je ne souhaite pas non plus que ce soit l'idéal de tous, sinon, nous n'aurions plus de médecin ni d'architecte. Mais l'utopie, ce serait que tous le smédecins exercent leur métier par pure passion, et que tous les architectes éprouvent une jouissance à faire leur travail. C'est pas toujours le cas, malheureusement...

Enfin, voilà que mon père m'affirme qu'il s'est trompé sur on compte, que mon superviseur apprend qu'il s'est trompé sur mon compte, il reste plus qu'à savoir si moi-même je ne me suis pas trompée sur mon compte. Il n'y aurait aucune raison, étant donné que je fais tout par choix. J'ai davantage de confiance en moi présentement qu'historiquement, toute ma vie durant; c'est une force incroyable et ça ne donne que davantage la passion à aller plus en avant pour faire ce que l'on aime, pour ce que l'on juge d'important pour nous. Ahhh.... vive la vie, vive la vie, c'est ce que j'ai de plus précieux, je veux que ça dure longtemps, je veux que ça me donne toujours autant de plaisir, ce que j'aime la vie, vous ne pouvez pas vous imaginer à quel point.

Pour conclure, je vous dirais d'aller lire "Éthique à l'usage de mon fils" de Fernando Savater, c'est un chouette petit livre, ça n'apprend rien de t`res nouveau, rien de très percutant, mais ça vous mais "dans le bain", comme on dit, avant d'entreprendre des lectures plus sérieuses - ça pousse à aller plus loin que la simple vulgarisation (très réussie d'ailleurs... la vulgarisation est vraiment un art que j'estime, vous savez). Je me souviens dans certains chapitre, c'est drôle, j'abais l'impression de lire ce que j'avais moi-même écrit dans des blablas précédents. Par exemple, il parle d'un cetrain égoïsme, qui, poussé à l'extrême, peut être en quelque sorte l'incarnation du bien universel, et c'est exactement ce que je disais l'autre fois quand je parlais de "tu es l'univers", ou plutôt "l'univers, c'est toi" (les tournures enphatiques ont toujours plus de punch, vous ne trouvez pas?), c'était exactement la même chose... enfin, écrire une morale, une échelle de valeur ou quoi que ce soit du genre, quelque chose de réfléchit qui se base sur des principes qui me dépassent, je crois que oui, ça pourrais être t`res édifiant de tenter le coup, ou du moisn d'essayer, ne serait-ce que pour moi-même, mais de là à le faire lire aux autres, je crois que c'est la pire idée, parce que comme l'a cité Savater lui-même de Tony Duvert: "Le vice corrige mieux que la vertu. Subissez un vicieux, vous prendrez son vice en horreur. Subissez un vertueux, c'est la vertu toute entière que vous haïrez bientôt."

Je pourrais me comporter comme un monstre mal léché, il y aurait peut-être plus d'effet positif...